Pourquoi Hitler détestait les juifs
Le thème central du bipôle politique de la civilisation occidentale et orientale est précisément dans cet ordre de choses, précisément le thème du clivage qui a déclenché la dernière guerre mondiale chaude et la terrible guerre mondiale froide.
La question juive posée par le juif le plus célèbre de l'histoire de l'humanité et le deuxième et actuel penseur juif le plus évoqué et étudié responsable de la guerre froide, ces deux juifs différaient, chacun en leur temps, sur la solution ou sur la transmission d'une perception unique qu'ils avaient du modèle structurel de la société humaine, où chacun produisait le même diagnostic de ce qui serait le foyer principal du malheur humain.
Cette perception juive du principal coupable du malheur humain place la question de la culpabilité comme un élément clé de l'épistémologie de la souffrance humaine, et le péché de l'humanité et la culpabilité de ce péché doivent être reconnus par tous pour que le salut soit accordé.
Une autre perception, d'un autre Juif, dont la culture de la culpabilité et du péché de la culture du Juif où cette perception de la culpabilité et de l'erreur collective tombe sur toute l'humanité et chaque être humain a besoin d'être sauvé de cette culpabilité pour le désordre social produit qui exige une expiation sociale collective .
Lorsque la chronologie traverse l'Histoire de ces deux penseurs qui ont divisé l'humanité en deux blocs antagonistes, pour des raisons différentes, mais selon les mêmes principes, le principe de culpabilité, d'erreur, de châtiment et de rédemption par le sacrifice, qui consiste en l'abstinence des plaisirs et par le renoncement stoïque à la richesse et à toute vanité, donc ces deux penseurs ont leurs fidèles, des fanatiques prêts à mourir et à cause de ce fanatisme le nombre de personnes et de pays qui sont allés en guerre ne se compte pas, il y en a des centaines de millions de personnes qui se sont immolées et sont mortes et sont prêtes à mourir pour défendre leurs idées.
Le premier Juif s'appelle Jésus-Christ, et ses disciples, qui même s'il n'ont pas fondé le christianisme, ont été les premiers révolutionnaires à diviser les esprits, convaincus qu'ils étaient malheureux en ce monde à cause de leurs ambitions égoïstes, à cause de la poursuite des plaisirs la mondanité, la richesse matérielle et la poursuite obsessionnelle de la vanité et des frugalités superflues, donc pour atteindre le paradis, ils doivent confesser leurs péchés et abandonner leurs richesses et leurs vanités et mener une vie d'honnêteté et de simplicité.
Le deuxième juif s'appelle Karl Marx, ses partisans sont convaincus que le malheur de l'humanité est à blâmer pour l'inégalité sociale dans la répartition des richesses, précisément à cause du détournement d'une très grande fraction des richesses par un groupe de personnes beaucoup plus restreint. pécheurs qui ont volé ce qui appartient à tous les habitants de la terre, et que seule la punition de ces usurpateurs malhonnêtes de la richesse collective avec la redistribution de la richesse expropriée qui a été indûment prise à l'effort et au travail collectifs volés par les capitalistes, alors seulement l'humanité parvienne à la perfection de la justice sociale.
Deux Juifs et leurs visions rédemptrices de l'humanité, mais vous vous demandez ? Qui
demandé d'être sauvé de l'humanité elle-même ? Y a-t-il eu une révolte, ou une émeute, ou une assemblée, ou un plébiscite, ou un soulèvement, une manifestation publique d'humanité demandant à ces deux Juifs de l'aide pour être sauvés de leurs péchés et de leur malheur ?
Au contraire, chaque individu vivait avec ses propres difficultés personnelles et affrontait ainsi chacun d'eux avec les ressources dont il disposait, vivant chaque jour une nouvelle difficulté et gérant ses rêves sans philosopher ni souffrir avec la culpabilité d'être responsable de sa propre vie. .malheur si Marx ou Jésus n'avaient pas inculqué aux gens l'idée de culpabilité et d'erreur.
La notion de culpabilité, de péché, d'erreur fait partie du caractère juif. Les nazis détestaient cette idée de culpabilité et de péché.
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